Depuis trois décennies, Paul Kagame a bâti son pouvoir sur une version manipulée de l’histoire du génocide rwandais, instrumentalisant cette tragédie pour justifier ses ambitions expansionnistes en République Démocratique du Congo (RDC). En réalité, le principal pays victime de ses politiques agressives reste la RDC, qui endure depuis plus de trente ans des invasions répétées orchestrées par le régime rwandais. Avec une hospitalité légendaire, la RDC a accueilli des réfugiés rwandais, mais en retour, elle a subi une véritable hécatombe : plus de dix millions de morts dus aux conflits alimentés par les ingérences militaires de Kagame. Ces guerres ont non seulement causé des souffrances incommensurables aux populations congolaises, mais elles ont également servi de prétexte au pillage systématique des ressources minières du pays.
La dernière agression en date, survenue les 26 et 27 janvier 2025, s’inscrit dans cette logique d’expansion et de prédation. Les troupes rwandaises ont lancé une offensive meurtrière sur Goma et Bukavu et les zones environnant ces deux capitales de provinces, entraînant massacres et crimes innommables. L’objectif est clair : annexer une partie du territoire congolais et s’emparer des richesses minières de l’Est du pays. Et comme toujours, Kagame prétend agir pour la sécurité du Rwanda, alors que sa politique belliciste est la véritable source d’instabilité dans toute la région des Grands Lacs. Toutefois, cette fois-ci, la situation semble tourner en sa défaveur. Face à lui, un président congolais déterminé à révéler la vérité aux yeux du monde. Grâce à cette nouvelle dynamique, l’opinion internationale commence à prendre conscience du véritable visage de Paul Kagame : celui d’un criminel en série, habitué à défier même ses anciens alliés. Aujourd’hui, les pressions internationales et les sanctions économiques s’accumulent contre lui, et son pouvoir vacille. Ce qui semblait autrefois être un règne intouchable est désormais menacé. La fin de Paul Kagame pourrait bien être imminente, dictée non seulement par la résistance congolaise, mais aussi par la communauté internationale qui découvre enfin l’ampleur de ses crimes.
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